Femme, autrice-dessinatrice, 28 ans, cherche aventures à vivre, de Léa MKL
Du samedi 20 septembre au jeudi 30 octobre 2025
Antipode – L’Agora et Le Forum
Entrée libre sur les horaires d’ouverture
Vernissage le samedi 18 octobre à 19h00
ELéa MKL aime vivre des expériences, des rencontres, des instants de vie… et les raconter. Dans sa quête perpétuelle pour ressentir de nouveaux frissons et se sentir vivante, elle présente à travers son exposition à l’Antipode les originaux de sa bande-dessinée Les aventures fictives (Super Loto éditions) ainsi que des travaux autour de la mise en scène du “je”, de son appréciation de soi, se voir vieillir et se sentir parfois seule, pour le fun et pour le pire. Elle y explore le concept des petites annonces multiformats et l’effet d’accumulation, souhaitant partager avec le public des “bouts” de son univers à emporter avec soi.
À propos de Léa MKL
Connue pour ses histoires intimes racontées à l’aide de petites silhouettes blanches aux contours noirs, Léa MKL, dessinatrice aux 40k sur Instagram, s’appuie sur l’art pour extérioriser ses émotions négatives. À 26 ans, Léa Miquel – de son vrai nom – a déjà co-créé un concert dessiné. Elle publie en 2025 son premier ouvrage Les aventures fictives (Super Loto éditions).
Portraits de femmes, de Gaëlle Peltier Boursier
Samedi 18 et dimanche 19 octobre 2025
Antipode – Atelier de création
Entrée libre sur les horaires d’ouverture
L’exposition présente des portraits de femmes âgées rencontrées en Ehpad suite à une immersion de quatre mois. Chaque portrait est accompagné d’un texte libre écrit de leur main, d’une chanson ou d’un objet. Ce travail questionne les perceptions de la vieillesse et propose des représentations
visuelles renouvelées en partant des expériences vécues par les personnes elles-mêmes. Face à la stigmatisation et à l’invisibilisation des corps vieillissants, ces femmes se replacent, en nous regardant, au centre d’une représentation et d’un récit qui leur est propre.
A propos de Gaëlle Peltier Boursier
A travers le dessin, la peinture, la gravure et la sculpture, Gaëlle Peltier Boursier questionne l’histoire, la mémoire et la transmission. Historienne de formation, influencée par la notion d’histoire « par en bas », son travail artistique entend mettre sur le devant de la scène les trajectoires de vie des anonymes. La démarche est double. Il s’agit à la fois de porter témoignage, de donner une expression plastique à des personnes socialement invisibilisées, mais aussi de créer du lien. En ce sens, ses œuvres sont d’abord le lieu d’une rencontre entre une artiste et une personne.
